Le Tesla Model Y revient sur la plus haute marche du podium en Europe. En septembre 2025, le SUV électrique s’impose devant des références thermiques comme la Renault Clio et la Dacia Sandero. Un mois qui confirme une chose : le marché reste très dynamique, et les livraisons de fin de trimestre peuvent tout changer.
Dans le détail, on parle d’environ 25 938 immatriculations pour le Model Y sur le mois, avec un podium complété par la Clio (~20 146) et la Sandero (~19 200). Sur l’ensemble de l’année (janvier–septembre), la Sandero conserve toutefois la première place, tandis que le Model Y pointe plutôt autour de la 17e position (~109 793 unités). L’électrique brille sur les pics mensuels, mais le cumul annuel reste très disputé.
Ce rebond du Model Y intervient après un été irrégulier. Un schéma déjà vu : Tesla concentre souvent ses livraisons en fin de trimestre. Quand production et logistique s’alignent, le résultat se voit aussitôt dans les classements.
1) La cadence de livraisons change la donne
Chez Tesla, les mois de fin de trimestre sont souvent les plus fournis. Les flux s’accélèrent, les véhicules arrivent en nombre, et les immatriculations suivent. À l’inverse, un mois plus calme ne dit pas tout de la demande : il reflète aussi le calendrier industriel.
2) Gamme recentrée, positionnement clair
Le Model Y avance avec une gamme lisible : des versions plus accessibles pour ouvrir la porte de l’électrique, et un Long Range qui sécurise les grands déplacements. Résultat : un modèle facile à comprendre, à configurer et à livrer à grande échelle.
3) Une concurrence qui ne désarme pas
Les meilleures ventes thermiques gardent la main sur l’année. Les marques chinoises progressent aussi dans plusieurs pays, avec des offres agressives sur prix et équipements. Dans ce contexte, le Model Y montre qu’un mois bien livré suffit à reprendre la main.
Part des nouvelles marques : la présence de constructeurs asiatiques continue de s’installer. Selon les pays, leur pénétration dépasse désormais 7 % sur certains mois, notamment grâce à des modèles compacts bien placés en prix. La pression est réelle sur les segments B/C.
Réglementaire / calendrier
Les chiffres européens arrivent généralement la troisième semaine du mois suivant, avec des périmètres qui peuvent inclure l’UE, le Royaume-Uni et l’EFTA. Les ventilations par modèle, par type d’énergie et par pays permettent ensuite de lire plus finement les tendances : parts de marché, mix moteurs, évolution des immatriculations entreprises/particuliers, etc.
À côté des volumes, l’environnement joue aussi un rôle : bonus et malus nationaux, coûts logistiques, disponibilité des transports, délais de homologation. Ce sont des leviers qui peuvent créer des écarts notables d’un mois à l’autre.
Contexte et impacts pour Tesla
Pour Tesla, la première place de septembre est un marqueur : le Model Y confirme son statut de best-seller électrique dès que la machine industrielle tourne à plein. Côté image, le signal est fort : l’électrique peut devancer des références thermiques sur un mois entier. Côté business, l’équation reste fine : volumes, marges et compétitivité prix doivent s’équilibrer sur un marché européen de plus en plus disputé.
La suite ? Cap sur le quatrième trimestre. Si les livraisons restent soutenues et la demande au rendez-vous, le Model Y peut encore remonter au cumul. Sinon, la hiérarchie annuelle restera dominée par des modèles très accessibles, toujours plébiscités pour leur prix d’achat.
Points clés
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~25 938 Model Y immatriculés en Europe en septembre 2025 : n°1 toutes motorisations.
-
Podium : Model Y (~25,9 k), Renault Clio (~20,1 k), Dacia Sandero (~19,2 k).
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Vs septembre 2024 : mois en léger retrait (~–8 à –9 %) pour le Model Y.
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YTD 2025 : Sandero leader (~185,9 k), Model Y autour de la 17e place (~109,8 k).
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Concurrence : part des marques asiatiques en hausse sur plusieurs marchés européens.
FAQ
Le marché électrique est-il en baisse ?
Il fluctue. Les volumes mensuels dépendent des prix, des aides et des délais. Sur l’année, la tendance varie selon les pays et le mix de modèles.
Les marques chinoises vont-elles tout bouleverser ?
Elles progressent vite sur certains segments. Mais la hiérarchie reste diverse d’un pays à l’autre, et la réponse des marques européennes s’organise.
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Le Tesla Model Y revient sur la plus haute marche du podium en Europe. En septembre 2025, le SUV électrique s’impose devant des références thermiques comme la Renault Clio et la Dacia Sandero. Un mois qui confirme une chose : le marché reste très dynamique, et les livraisons de fin de trimestre peuvent tout changer.
Dans le détail, on parle d’environ 25 938 immatriculations pour le Model Y sur le mois, avec un podium complété par la Clio (~20 146) et la Sandero (~19 200). Sur l’ensemble de l’année (janvier–septembre), la Sandero conserve toutefois la première place, tandis que le Model Y pointe plutôt autour de la 17e position (~109 793 unités). L’électrique brille sur les pics mensuels, mais le cumul annuel reste très disputé.
Ce rebond du Model Y intervient après un été irrégulier. Un schéma déjà vu : Tesla concentre souvent ses livraisons en fin de trimestre. Quand production et logistique s’alignent, le résultat se voit aussitôt dans les classements.
1) La cadence de livraisons change la donne
Chez Tesla, les mois de fin de trimestre sont souvent les plus fournis. Les flux s’accélèrent, les véhicules arrivent en nombre, et les immatriculations suivent. À l’inverse, un mois plus calme ne dit pas tout de la demande : il reflète aussi le calendrier industriel.
2) Gamme recentrée, positionnement clair
Le Model Y avance avec une gamme lisible : des versions plus accessibles pour ouvrir la porte de l’électrique, et un Long Range qui sécurise les grands déplacements. Résultat : un modèle facile à comprendre, à configurer et à livrer à grande échelle.
3) Une concurrence qui ne désarme pas
Les meilleures ventes thermiques gardent la main sur l’année. Les marques chinoises progressent aussi dans plusieurs pays, avec des offres agressives sur prix et équipements. Dans ce contexte, le Model Y montre qu’un mois bien livré suffit à reprendre la main.
Part des nouvelles marques : la présence de constructeurs asiatiques continue de s’installer. Selon les pays, leur pénétration dépasse désormais 7 % sur certains mois, notamment grâce à des modèles compacts bien placés en prix. La pression est réelle sur les segments B/C.
Réglementaire / calendrier
Les chiffres européens arrivent généralement la troisième semaine du mois suivant, avec des périmètres qui peuvent inclure l’UE, le Royaume-Uni et l’EFTA. Les ventilations par modèle, par type d’énergie et par pays permettent ensuite de lire plus finement les tendances : parts de marché, mix moteurs, évolution des immatriculations entreprises/particuliers, etc.
À côté des volumes, l’environnement joue aussi un rôle : bonus et malus nationaux, coûts logistiques, disponibilité des transports, délais de homologation. Ce sont des leviers qui peuvent créer des écarts notables d’un mois à l’autre.
Contexte et impacts pour Tesla
Pour Tesla, la première place de septembre est un marqueur : le Model Y confirme son statut de best-seller électrique dès que la machine industrielle tourne à plein. Côté image, le signal est fort : l’électrique peut devancer des références thermiques sur un mois entier. Côté business, l’équation reste fine : volumes, marges et compétitivité prix doivent s’équilibrer sur un marché européen de plus en plus disputé.
La suite ? Cap sur le quatrième trimestre. Si les livraisons restent soutenues et la demande au rendez-vous, le Model Y peut encore remonter au cumul. Sinon, la hiérarchie annuelle restera dominée par des modèles très accessibles, toujours plébiscités pour leur prix d’achat.
Points clés
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~25 938 Model Y immatriculés en Europe en septembre 2025 : n°1 toutes motorisations.
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Podium : Model Y (~25,9 k), Renault Clio (~20,1 k), Dacia Sandero (~19,2 k).
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Vs septembre 2024 : mois en léger retrait (~–8 à –9 %) pour le Model Y.
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YTD 2025 : Sandero leader (~185,9 k), Model Y autour de la 17e place (~109,8 k).
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Concurrence : part des marques asiatiques en hausse sur plusieurs marchés européens.
FAQ
Le marché électrique est-il en baisse ?
Il fluctue. Les volumes mensuels dépendent des prix, des aides et des délais. Sur l’année, la tendance varie selon les pays et le mix de modèles.
Les marques chinoises vont-elles tout bouleverser ?
Elles progressent vite sur certains segments. Mais la hiérarchie reste diverse d’un pays à l’autre, et la réponse des marques européennes s’organise.
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